Doléances > Oui, Free Mobile est un artiste

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Kkouman
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Oui, Free Mobile est un artiste

Message par Kkouman » il y a 12 ans

L’art contemporain n’avait pas encore, jusque-là, exploré l’univers de la téléphonie mobile. Oh, je ne vous parle pas des terminaux mobiles, dont l’esthétique est parfois remarquable -citons celle des téléphones Vertu ou les Iphones.

Non, Je veux parler des “conditions accordées au quatrième opérateur mobile par l’autorité de régulation”.

Ce n’est pas un hasard si cette dénomination ressemble au titre d’un film situationniste : car nous entrons ici dans le domaine de l’art, et notamment de l’art conceptuel. Et de même que le cubisme a révolutionné la perspective en peinture, de même les conditions accordées à Free révolutionnent la topographie des “business models”.

Quand le nouvel opérateur Free Mobile s’est lancé le 10 janvier dernier à l’assaut de ses trois gros concurrents Orange, SFR et Bouygues Télécom, en proposant ses forfaits à 0 et 2 euros, et ses forfaits «tout illimité» à 19,99 euros maximum, il n’a pas jeté son énergie sur une toile vierge.

Celle-ci fut en effet apprêtée par l’Arcep, l’autorité de régulation des télécoms. Sur cette toile, Free a trouvé des avantages, des privilèges et des faveurs. Pourquoi ? Parce que le petit nouveau, ne bénéficiant pas de l’expérience des anciens, devait, pour survivre, bénéficier de ces passe-droits pour lutter à armes égales avec eux.

D’abord, il fut décidé que l’un des trois opérateurs téléphoniques existant devait se dévouer pour signer un accord d’itinérance, c’est à dire pour ouvrir son réseau à Free. En effet, pour décrocher sa licence d’opérateur mobile, Free devait construire son propre réseau avant le 12 janvier 2012, lequel devait couvrir au moins 27% de la population. Les 73% restant devaient donc être assurés par SFR, Orange ou Bouygues -lesquels ne pouvaient refuser de signer un tel accord ! Il est vrai qu’ils auraient pu dire, à bon droit : “Free veut venir nous concurrencer sur le territoire de la téléphonie mobile : pourquoi devrions-nous lui accorder un accès à notre réseau ? N’est-ce pas faire entrer le loup dans la bergerie ? Et ne risque-t-il pas de f... le b... dans notre secteur ?””

Mais l’Arcep ne l’entendait pas de cette oreille : elle avait donc prévu que si l’un des trois refusait de se dévouer, elle en désignerait un arbitrairement, et déciderait elle-même du prix auquel l’opérateur désigné vendrait ses minutes de téléphonie et sa data (internet mobile) au nouvel entrant. C’est Orange qui s’est donc dévoué, pour un montant de 1 milliard d’euros sur six ans. C’est un peu comme si un peintre débutant avait demandé à un peintre expérimenté de peindre à sa place les trois-quarts de son tableau -ce qui, au niveau conceptuel, pose déjà pas mal de questions intéressantes au sujet de la paternité de l’œuvre, de la fécondation croisée entre artistes, de la fusion entre nouvelle et ancienne génération.

Le deuxième avantage concernait l’accès aux “points hauts” pour les antennes : ce sont les meilleurs emplacements, difficiles à décrocher, et Free s’y voyait accorder un accès privilégié, sans avoir eu à se battre avec les copropriétés, les syndics, les mairies. Là encore, les trois opérateurs pouvaient se dire : “N’est-ce pas laisser les romanichels s’installer sur la pelouse de notre château ?” On peut effectivement se demander ce qu’aurait pensé Fabrice Del Dongo si un nouvel entrant avait voulu s’imposer dans sa chère Tour Farnèse, “de cent quatre-vingt pieds de haut”. Mais on retrouve ici, en fait, la technique invasive et intrusive défendue par Pierre Pinoncelli le 4 janvier 2006 : celui-ci avait ébréché d’un coup de marteau l’urinoir de Duchamp, prétendant ainsi en faire un œuvre nouvelle, qu’il signa “Dada”.

Le troisième avantage s’appelle la “terminaison d’appel”. Ici, nous entrons dans le domaine de la distorsion de perspective, amorcé avec le cubisme, porté à son point culminant avec les œuvres du Suisse Maurits Cornelis Escher -les fameux escaliers “impossibles”, qui se croisent et se décroisent et semblent à la fois monter et descendre.

Lorsque par exemple M. Martin B., client chez Bouygues Télécom, appelle Mme Esséfert, cliente chez SFR, Bouygues paye à SFR une sorte de “péage” pour avoir accès à Mme Esséfert. Le même système est valable en sens inverse : SFR paye un droit (la “terminaison d’appel”) quand un de ses clients appelle un client de Bouygues. Les montants versés aux uns par les autres (en l’occurrence, 1,5 centime par minute de communication) sont identiques. Et à la fin de l’année, grosso modo, tout s’équilibre.

Mais, pour un petit nouveau, l’équation est difficile : comme, au début, il a peu de clients, ceux-ci ont peu de chances de s’appeler beaucoup entre eux, et vont donc appeler très souvent des clients d’autres opérateurs -les fameux “gros ”opérateurs déjà en place, qui ont, eux, beaucoup de clients. Et, à l’inverse, les clients de ces derniers auront peu de chance d’appeler de nombreux clients de Free Mobile. Free devra donc payer beaucoup de “péages”, et en recevra peu de la part de ses concurrents. Pour aider le petit nouveau à s’en sortir, l’Arcep a donc créé l’“asymétrie de la terminaison d’appel”. Derrière ce nom qui évoque le titre d’une œuvre surréaliste, se cache un mécanisme très simple. L’Arcep a décidé que Free recevrait un droit de péage supérieur à celui que touchent ses concurrents quand ces derniers l’appellent. Ainsi, cette “asymétrie” doit se traduire par des flux équilibrés entre Free et ses concurrents -et Free ne se ruine plus quand ses clients appellent SFR, Bouygues Télécom ou Orange.

Seulement voilà : ce qui devait n’être qu’un mécanisme de rééquilibrage se trouve être une des composantes essentielles du “business plan” de Free. Tout a été fait pour que Free encaisse un maximum de droits de péages. Prenons l’exemple du fameux “tarif social” du forfait à 2 euros.

Ce tarif a été inventé par philanthropie mais aussi pour susciter la création de milliers d’abonnements, qui sont autant d’occasions d’être appelé et donc de générer ces fameux droits de péage ! Puisqu’un abonné reçoit en moyenne autant d’appels et de SMS qu’il en envoie, et puisque les messages reçus rapportent plus que les messages envoyés, autant multiplier les abonnés, lesquels se transforment ainsi en jack-pots ambulants (“Walking slot machines”) semblables à ceux du plasticien Today on the Shelf.

Parlons un peu de chiffres, voulez-vous ? Car les nombres qui apparaissent en filigrane sur le compte d’exploitation prévisionnel de Free Mobile sont aussi fascinants que les suites de chiffres peints par Roman Opalka : la terminaison d’appel va rapporter au minimum 262 millions d’euros en un an à Free avec 3 millions d’abonnés [1], soit 165 millions pour la voix, et 97 millions pour les SMS. L’essentiel de l’équipement réseau, fourni par Nokia-Siemens Networks, étant réputé avoir coûté aux alentours de 250 millions d’euros, c’est donc la terminaison d’appel, et donc les clients des concurrents, qui auront payé le réseau de Free Mobile...

Sans doute est-ce l’idéal de la pierre philosophale, ou du mouvement perpétuel que Free a voulu inventer. Un “business model” que l’on pose sur une table, et qui tourne tout seul, moissonnant les subventions et les terminaisons d’appel comme les fontaines infinies du peintre Escher, cité plus haut, ces fontaines impossibles qui ruissellent perpétuellement, sans égard pour la perspective ou le respect des équilibres physiques.

Bien entendu, un tel modèle ne peut pas, en l’état, tenir à long terme. D’une part car il siphonne la base-clients des concurrents, qui désertent pour venir en masse s’inscrire chez Free. D’autre part car il siphonne la valeur du secteur des télécoms, puisque les marges vont être divisées par deux pour tout le monde -alors même que les investissements dans le réseau restent nécessaires, notamment pour développer la 4G, la future norme du “haut débit mobile”.

Et le principe de “l’asymétrie”, qui devait juste créer les conditions d’un rééquilibrage entre nouvel entrant et anciens entrants, semble en fait avantager fortement et durablement le nouvel entrant. Prévue pour durer deux ans, la décision concernant la TA sera en effet vraisemblablement prolongée d’année en année, comme cela avait été le cas pour Bouygues Télécom.

Et c’est d’ailleurs pour cette raison que Free a limité l’accès à ses offres à trois millions de clients seulement : si tous les clients de la mobilité rejoignent Free Mobile, le déséquilibre de TA en sa faveur ne marche plus ! Pour que Free encaisse les millions d’euros de la TA, il faut bien qu’il existe des pigeons pour la lui payer...

Reste enfin la question de l’éthique. Le 10 janvier, la rumeur a couru dans Paris : des huissiers auraient été dépêchés dans la capitale pour vérifier si les antennes de Free étaient allumées ou éteintes. Le 3 février, on apprenait que, selon les huissiers en question, les antennes d’Orange prenaient en charge le trafic à destination des antennes de Free à hauteur de 60% à 96% selon les villes (90% à Paris)

D’ailleurs, un site internet très pratique pour choisir son opérateur en fonction de la qualité de la réception dans le secteur où l’on habite dresse un tableau encore plus net : à Paris, par exemple, la carte “Free avec itinérance (c’est-à-dire appels de Free passant sur le réseau France-Télécom /Orange) est quasiment toute verte. La carte “Free sans itinérance” est quasiment toute grise, avec quelques points verts. Et c’est pareil pour la France entière (sensorly.com, au 7 février 2012).

Que s’était-il passé ? En fait, comme on peut le voir avec le site sensorly.com, le réseau de Free est peu dense, et en peau de léopard (beaucoup de trous entre deux zones de couverture). En outre, il repose majoritairement sur du fil de cuivre et non pas sur de la fibre optique pour la partie terminale (qui relie l’antenne à la première station relais, -le trajet d'un appel mobile passe en effet à 80% par le sous-sol, et à 20% seulement par les airs).

Ce choix du cuivre a été fait sans doute pour gagner du temps et tenir les délais pour la date butoir du test de validité de l’Arcep : le réseau cuivre existe déjà alors qu’il faut venir déployer la fibre, domaine où Free n’a pas encore tout à fait apporté la preuve de son savoir-faire. Le réseau pouvait supporter les tests des inspecteurs de l’Arcep qui sillonnèrent la France pour valider l’existence de son réseau. Mais il ne pouvait sans doute pas supporter en l’état les millions d’appels passés par ses centaines de milliers de premiers abonnés !

La qualité du signal des antennes aurait donc été volontairement réduite : ainsi, un appel émis vers un de ses abonnés aurait désespérément cherché une antenne proche de celui-ci mais, trouvant que le signal était trop faible, se serait rabattu en désespoir de cause vers l’antenne Orange la plus proche... Orange, le partenaire d’itinérance, fidèle à son ADN “service public” d’opérateur historique ! Et fidèle au poste pour absorber les appels des 300 000 clients actifs de Free recensés par diverses sources au 24 janvier (sur un million d’inscrits).

La faiblesse du signal émis par les antennes Free explique d’ailleurs pourquoi les utilisateurs trouvent que leur batterie se décharge si vite sur le réseau Free Mobile : elle s’épuise à chercher elle aussi le signal !

Bien entendu, après le feu vert de l’Arcep, Free avait sans doute prévu de mettre son réseau à niveau en déployant de la fibre ultérieurement, à son rythme -elle aurait sans doute, pour cela, fait appel aux services de Christo, spécialiste des installations monumentales et complexes.

Mais c’est le fait que Free continue à percevoir sa “terminaison d’appel”, son “droit de péage”, même quand ce sont les antennes d’Orange qui sont utilisées du fait de la défaillance de ses propres antennes qui nous arrache des “joie, joie, pleurs de joie !” Oui, vous avez bien lu, quand Free est incapable d’assurer l’acheminement de l’appel vers son abonné, Free touche quand même les droits de péage de la terminaison d’appel... pourtant assurée par Orange ! On s’agenouille, œil en extase, face à un modèle d’affaires qui atteint le sublime.

Quelle joie, quel plaisir, quelle émotion artistique alors, de lire sur Twitter des réflexions comme :

“Enfin sur Free Mobile. Qualité du débit = top. Bye bye Orange !”

Cette technique de “trompe-l’œil”, aussi parfaite que celle de Pere Borrelle del Caso, est portée à son point d’incandescence avec la vidéo projetée lors du lancement, qui montre le décollage tonitruant d’une navette spatiale. Cette vidéo illustre que Free Mobile a réussi à faire croire que son lancement était une réussite, alors qu’il s’agissait d’un demi-succès : en effet, un lancement qui se traduit par :

1/ Un site internet en rade pour enregistrer les inscriptions, 2/ Un processus d’inscription où l’on revient à l’étape 1 après avoir atteint l’étape 4 (ah, Escher, toujours...), 3/ Un temps d’attente très long pour recevoir sa carte SIM, 4/ Un temps d’attente presqu’aussi long pour parler à un téléconseiller, 5/ Un processus de portabilité en rade, alors que Free est membre du GIE de portabilité, 6/ Des numéros de mobiles attribués, qui ne correspondent pas aux numéros de mobiles choisis sur le site par les clients, 7/ Une autonomie des batteries des téléphones fortement réduite à cause de la recherche permanente de signaux d’antenne faibles, 8/ Un silence radio étonnant sur la question de savoir si les abonnés bénéficieront d’une 3G de qualité (3G+, HSDPA...) et un réseau aux terminaisons cuivre qui ne peut donc, en l'état, évoluer vers la 4G, 9/ Une mise en vente des smartphones et la mise en place du crédit dit “gratuit” repoussées à quelques semaines, 10/ Un réseau inopérant à hauteur de 60% à 90% au moins lors du jour J et dans les semaines qui suivent...

… est un lancement qui ne peut tout à fait être qualifié de triomphe.

Mais, de même que la navette spatiale a pu gagner l’espace grâce à la fusée-lanceur à laquelle elle était arrimée, Free Mobile a pu faire penser qu’il avait parfaitement réussi son lancement, grâce au soutien fiable et sans faille de la fusée Orange (l'auteur de ces lignes n'est pas spécialement fan d'Orange, n'est pas "ami" avec Orange sur Facebook, n'est pas abonné aux twits d'Orange, mais apprécie énormément son esprit "service public" -ou ce qu'il en reste- tout en espérant que cet esprit survive dans le futur).

Bien entendu, que ce système montre qu’au fond, Free a pu s’asseoir à la table de poker, en compagnie de gros joueurs solides, sans avoir lui-même de réseau solide, ne doit pas retenir notre attention.

Que Free ait obtenu des avantages considérables (accès au réseau France-Télécom pour compléter sa couverture, accès aux “points hauts” pour ses antennes, terminaison d’appel avantageuse) sans remplir son obligation d’investir solidement dans un réseau fiable ne rentre pas non plus en ligne de compte.

Que ce système cubiste, d’où tout horizon clair a disparu, semble empêcher aujourd’hui les acteurs concernés de mener entre eux des négociations rationnelles pour rééquilibrer ce business-model surréaliste (alors qu’il suffit qu’ils se tournent vers Free pour lui demander comment Free Mobile compte survivre quand la base-clients de la mobilité en France sera devenue aussi vierge qu’une toile blanche) n’est absolument pas important.

Nous sommes ici dans le domaine esthétique, ne l’oublions pas, et l’art s’affranchit des bons sentiments.

Free illustre une époque où la concurrence est faussée en défaveur de ceux qui investissent vraiment dans un réseau solide, où le low-cost montre sa parenté avec l’Arte povera, où le business-model repose sur l’appauvrissement structurel des concurrents et le dépérissement du marché, où l’esthétique prend enfin le pas sur la rentabilité pure... Free est la première entreprise qui aura transcendé le réalisme financier pour créer une œuvre d’art. Free est le premier artiste économique. Free est un artiste.

Sources :
http://leplus.nouvelobs.com/contributio ... artie.html
http://leplus.nouvelobs.com/contributio ... artie.html

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Message par Adsense » il y a quelques secondes

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Guillome
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Message par Guillome » il y a 12 ans

Je trouve ça magnifique Kkouman et tellement vrai !
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calimero14
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Message par calimero14 » il y a 12 ans

Free, utilise les mêmes armes que les autres. Il sont peut être plus malin, mais c'est pas au détriment des consommateurs, contrairement au autres.

calimero

FREESCAUT
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Message par FREESCAUT » il y a 12 ans

Mouais,trop long ce bordel!!!
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kyss191
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Message par kyss191 » il y a 12 ans

très long oui, mais surtout très partial! juste un exemple parmis d'autres.. les terminaisons d'appel, l'auteur à clairement mis de coté les tarifs des autres opérateurs qui en ont bénéficié à leurs debuts! et ils étaient nétement superieur à ce que demande free aujourd'hui! Free a demandé à chacun des trois opérateurs 2,85 centimes par texto acheminé sur son réseau pour les six premiers mois de 2012, puis 2,35 centimes pour le second semestre. Soit un différentiel de 1,35 centime par SMS tout au long de 2012. Entre 2006 et fin septembre 2010, Bouygues Telecom était à 3,5 centimes d’euro par SMS (contre 3 centimes pour Orange et SFR) !!

l'auteur parle de l'itinerance... l'arcep n'a jamais imposée d'itinerance 3G, mais une 2G! c'est orange qui as voulu l'itinérance 3G et le milliard d'euros qui va si bien avec..... bref..; beaucoup trop d'erreur, beaucoup trop d'oublis (volontaire?), un papier infiniment trop partial! document "à charge" en mettant de coté la réalité des choses...
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